ERISA: Employee Retirement Income
Security Act of 1974 (ERISA): the District Court should have applied a
deferential standard of review to the Plan Administrator’s interpretation of
the Plan on remand; Firestone Tire & Rubber Co. v. Bruch,
489 U. S. 101. Firestone looked to “principles of trust law” for
guidance. Id., at 111. Under trust law, the appropriate standard depends
on the language of the instrument creating the trust. When a trust instrument
gives the trustee “power to construe disputed or doubtful terms, . . . the
trustee’s interpretation will not be disturbed if reasonable.” Ibid; this Court held in Metropolitan
Life Ins. Co. v. Glenn, 554 U. S. ___, ___, that a plan
administrator operating under a systemic conflict of interest is nonetheless
still entitled to deferential review. In light of that ruling, it is difficult
to see why a single honest mistake should require a different result; Trust law
does not resolve the specific question whether courts may strip a plan
administrator of Firestone deference after one good faith mistake; applying
a deferential standard of review also does not mean that the plan administrator
will always prevail on the merits. It means only that the plan administrator’s
interpretation “will not be disturbed if reasonable.” Firestone, 489 U.
S., at 111 (U.S.S.Ct., 21.04.10, Conkright v. Frommert, C.J. Roberts).
ERISA : après renvoi, la cour de district aurait du
examiner avec déférence l’interprétation du plan de retraite retenue par
l’administrateur du plan. La jurisprudence Firestone a examiné ce type de
questions à la lumière du droit des trusts. Selon le droit des trusts, le test
approprié dépend du texte de l’instrument qui a crée le trust. Lorsqu’un tel
instrument confère au trustee le pouvoir d’interpréter des termes contestés ou
douteux, l’interprétation du trustee ne sera pas modifiée si elle est
raisonnable. Dans la jurisprudence Metropolitan Life, la Cour a jugé qu’un
administrateur de plan qui agit malgré un conflit d’intérêt voit nonobstant son
interprétation être examinée avec déférence. A la lumière de cette décision, il
est difficile de concevoir pourquoi une seule erreur commise honnêtement
devrait impliquer un résultat différent. Le droit des trusts est muet
s’agissant de la question de savoir si une cour peut révoquer un administrateur
de plan, fondé à revendiquer un examen déférent de ses interprétations, après
une seule erreur commise de bonne foi. Ce standard d’examen déférent n’implique
nullement que l’administrateur du plan l’emportera toujours s’agissant du jugement
au fond. Il signifie uniquement que l’interprétation de l’administrateur du
plan ne sera pas modifiée si elle est raisonnable.
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