Tuesday, January 12, 2010

Smith v. Spisak



Death penalty: the rule the Court set forth in Mills is based on two well-established principles. First, the Constitution forbids imposition of the death penalty if the sentencing judge or jury is “‘“precluded from considering, as a mitigating factor, any aspect of a defendant’s character or record and any of the circumstances of the offense that the defendant proffers as a basis for a sentence less than death.”’” 486 U. S., at 374 (quoting Eddings v. Oklahoma, 455 U. S. 104, 110 (1982), in turn quoting Lockett v. Ohio, 438 U. S. 586, 604 (1978) (plurality opinion)). Second, the sentencing judge or jury “‘may not refuse to consider or be precluded from considering “any relevant mitigating evidence.”’” Mills, 486 U. S., at 374–375 (quoting Skipper v. South Carolina, 476 U. S. 1, 4 (1986), in turn quoting Eddings, supra, at 114) (U.S.S.Ct., 12.01.10, Smith v. Spisak, J. Breyer)

Peine de mort : la règle établie par la Cour dans la jurisprudence Mills est basée sur deux principes solidement établis. Tout d’abord, la Constitution fédérale interdit d’imposer la peine de mort si le juge de la sanction ou le jury a été empêché de considérer, comme circonstances atténuantes, un aspect ou un autre du dossier ou du caractère du prévenu, ou a été empêché de considérer l’une des circonstances de l’infraction que le prévenu allègue comme base pour une sentence moins sévère que la mort. En second lieu, le juge de la sanction ou le jury ne peut refuser de considérer ni être empêché de considérer quelque circonstance atténuante relevante que ce soit.

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