Res judicata: Claim preclusion:
The doctrine of claim preclusion (the here-relevant
aspect of res judicata) prohibits “successive litigation of the very same
claim” by the same parties. New Hampshire v. Maine, 532 U. S.
742, 748 (2001). Petitioners’ postenforcement as-applied challenge is not “the
very same claim” as their preenforcement facial challenge. The Restatement of
Judgments notes that development of new material facts can mean that a new case
and an otherwise similar previous case do not present the same claim. See
Restatement (Second) of Judgments §24, Comment f (1980) (“Material
operative facts occurring after the decision of an action with respect to the
same subject matter may in themselves, or taken in conjunction with the antecedent
facts, comprise a transaction which may be made the basis of a second action
not precluded by the first”); cf. id., §20(2) (“A valid and final
personal judgment for the defendant, which rests on the prematurity of the
action or on the plaintiff ’s failure to satisfy a precondition to suit, does
not bar another action by the plaintiff instituted after the claim has matured,
or the precondition has been satisfied”); id., §20, Comment k (discussing
relationship of this rule with §24, Comment f). The Courts of Appeals
have used similar rules to determine the contours of a new claim for purposes of preclusion. See, e.g., Morgan v.
Covington, 648 F. 3d 172, 178 (CA3 2011) (“Res judicata does not bar
claims that are predicated on events that postdate the filing of the initial
complaint”); Ellis v. CCA of Tenn. LLC, 650 F. 3d 640, 652 (CA7
2011); Bank of N. Y. v. First Millennium, Inc., 607 F. 3d 905,
919 (CA2 2010); Smith v. Potter, 513 F. 3d 781, 783 (CA7 2008); Rawe
v. Liberty Mut. Fire Ins. Co., 462 F. 3d 521, 529 (CA6 2006); Manning
v. Auburn, 953 F. 2d 1355, 1360 (CA11 1992). The Restatement adds
that, where “important human values—such as the lawfulness of continuing
personal disability or restraint—are at stake, even a slight change of
circumstances may afford a sufficient basis for concluding that a second action
may be brought.” §24, Comment f; see Bucklew v. Lombardi,
783 F. 3d 1120, 1127 (CA8 2015) (allowing as-applied challenge to execution
method to proceed notwithstanding prior facial challenge).
Secondary sources: C. Wright, A. Miller,
& E. Cooper, Federal Practice and Procedure §4408, p. 52 (2d ed. 2002,
Supp. 2015); Restatement (Second) of Judgments (1980).
(U.S.S.C., June 27, 2016, Whole Woman’s
Health v. Hellerstedt, Docket 15-274, J. Breyer).
Chose
jugée : la doctrine de la « claim preclusion », qui découle du
principe de l’autorité de la chose jugée, prohibe une nouvelle action fondée
sur les mêmes conclusions et entre les mêmes parties. N’est pas prohibée par ce
principe l’action fondée sur une loi entrée en force, alors qu’antérieurement
une action de droit constitutionnel avait été déposée pour tenter de faire
constater l’inconstitutionnalité de la loi avant son entrée en vigueur. Selon
le Restatement (Second) of Judgments §24, Comment f (1980), un fait matériel relevant, qui se produit après la
décision rendue dans le cadre d’une première action qui portait sur le même
objet qu’une seconde action, peut constituer la base de la seconde action. Cela
que ce fait soit considéré pour lui-même dans le cadre de la seconde action, ou
qu’il soit considéré en conjonction avec une situation déjà relevée dans la
première action. La première action ne fait donc pas obstacle à la seconde.
Un
jugement final et exécutoire en faveur du défendeur, fondé sur une demande
prématurée ou sur une précondition qui n’était pas encore remplie, n’empêche
nullement une nouvelle action ouverte par le même demandeur, initiée après
maturité des fondements de la demande, ou après la réalisation de la condition.
La
force de chose jugée n’empêche pas une action fondée sur des événements
postérieurs au dépôt de la première demande.
Et
le Restatement poursuit en indiquant que lorsque « d’importantes valeurs
humaines » sont en jeu, telles que des questions de légalité d’une invalidité
qui se prolonge, même un changement de circonstances peu important peut
constituer une base suffisante pour permettre le dépôt d’une seconde action.
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