First Amendment: free speech: because §528 is directed
at misleading commercial speech and imposes only a disclosure requirement
rather than an affirmative limitation on speech, the less exacting scrutiny set
out in Zauderer v. Office of Disciplinary Counsel of Supreme Court of
Ohio, 471 U. S. 626, governs. There, the Court found that, while
unjustified or unduly burdensome disclosure requirements offend the First
Amendment, “an advertiser’s rights are adequately protected as long as
disclosure requirements are reasonably related to the State’s interest in
preventing deception of consumers.” Id., at 651; the disclosures are
intended to combat the problem of inherently misleading commercial
advertisements, and they entail only an accurate statement of the advertiser’s
legal status and the character of the assistance provided. Moreover, they do
not prevent debt relief agencies from conveying any additional information
through their advertisements. In re R. M. J., 455 U. S. 191,
distinguished. Because §528’s requirements are “reasonably related” to the
Government’s interest in preventing consumer deception, the Court upholds those
provisions as applied to Milavetz (U.S.S.Ct., 08.03.10, Milavetz v. U.S., J.
Sotomayor).
1er Amendement : liberté d’expression
: (pour une explication des enjeux de la présente espèce, cf. même décision
sous Attorney) : comme la loi examinée en l’espèce est destinée à
combattre les formes trompeuses d’expression commerciale et qu’elle n’impose
que la communication de certains renseignements, sans limiter effectivement
l’expression, c’est le test moins rigoureux fixé par la jurisprudence Zauderer
qui s’applique. Dans cette jurisprudence, la Cour a considéré que porte
atteinte au 1er Amendement une obligation de communication qui
serait injustifiée ou qui serait pénible sans raison valable. Ne porte pas
atteinte au 1er Amendement, et plus particulièrement aux droits du
publicitaire, les obligations de communications raisonnablement liées à l’intérêt
de l’état à la prévention de la tromperie des consommateurs. Lesdites
communications visent à combattre le problème des publicités commerciales
trompeuses et elles n’impliquent qu’une déclaration conforme à la vérité d’une
part du statut juridique du publicitaire et d’autre part de la nature de ses
services professionnels. En outre, elles n’interdisent nullement aux agences de
libération de dettes de communiquer d’autres informations à travers leurs
messages publicitaires. Les exigences de la loi examinée en l’espèce sont
raisonnablement liées à l’intérêt du gouvernement à la prévention de la
tromperie des consommateurs.
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