False Claims Act: and FOIA: the public disclosure bar
of the False Claims Act (FCA) generally forecloses private parties from
bringing qui tam suits to recover falsely or fraudulently obtained
federal payments where those suits are “based upon the public disclosure of
allegations or transactions in a criminal, civil, or administrative hearing, in
a congressional, administrative, or Government Accounting Office report,
hearing, audit, or investigation, or from the news media.” 31 U. S. C.
§3730(e)(4)(A); Held: A federal agency’s written response to a FOIA
request for records constitutes a “report” within the meaning of the FCA’s
public disclosure bar; (a) “Report” in this context carries its ordinary
meaning; the Court’s holding is not inconsistent with the public disclosure
bar’s drafting history. If anything, the drafting history supports this Court’s
holding. Kirk’s case seems a classic example of the “opportunistic” litigation
that the public disclosure bar is designed to discourage. Id., at ___.
Anyone could identify a few regulatory filing and certification requirements,
submit FOIA requests until he discovers a federal contractor who is out of
compliance, and potentially reap a windfall in a qui tam action under
the FCA; (d) Whether Kirk’s suit is “based upon . . . allegations or
transactions” disclosed in the reports at issue is a question to be resolved on
remand (U.S.S.Ct., 16.05.11, Schindler Elevator v. U.S. ex rel. Kirk, J.
Thomas).
De manière
générale, le FCA permet à une partie privée d’agir à la place du Gouvernement
fédéral pour récupérer des prestations financières versées à tort à une tierce
partie. Cette action ne peut toutefois être basée sur des faits qui ont été
appris par le requérant parce que ces faits avaient été portés à la
connaissance du public. Ces faits portés à la connaissance du public peuvent
être des faits tirés d’allégations ou de transactions en audience pénale,
civile ou administrative, de faits tirés de rapports, d’audiences, d’audit ou
d’investigations liés au Département comptable du Gouvernement fédéral, ou de
faits tirés des médias.
Une réponse
écrite donnée suite à une requête FOIA visant à obtenir des pièces constitue un
« rapport » au sens du FCA, de sorte que l’action FCA fondée sur ce
« rapport » n’est pas admise. En effet, le FCA veut décourager les
actions opportunistes, et permettre une action fondée sur de tels
« rapports » serait contraire à ce but d’évitement de telles actions
opportunistes. Une solution contraire permettrait à tout un chacun de
multiplier les requêtes FOIA pour découvrir un contractant du Gouvernement
fédéral qui n’aurait pas agi en conformité à la mission confiée, pour ensuite
déposer une action FCA, en vue d’en tirer profit. Ce type de comportement
opportuniste est contraire au but du FCA.
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