Immunity: 42 U. S. C. §1983 and Bivens v. Six
Unknown Fed. Narcotics Agents, 403 U. S. 388; Howards brought an action
against petitioners and others under 42 U. S. C. §1983 and Bivens v. Six
Unknown Fed. Narcotics Agents, 403 U. S. 388. Howards claimed that he was
arrested and searched without probable cause, in violation of the Fourth
Amendment, and that the arrest violated the First Amendment because it was made
in retaliation for Howards’ criticism of the Vice President; petitioners are
entitled to qualified immunity because, at the time of Howards’ arrest, it was
not clearly established that an arrest supported by probable cause could give
rise to a First Amendment violation; Courts may grant qualified immunity on
the ground that a purported right was not “clearly established” by prior case
law. Pearson v. Callahan, 555 U. S. 223, 236. To be clearly
established, a right must be sufficiently clear “that every ‘reasonable
official would have understood that what he is doing violates that right.’ ” Ashcroft
v. al-Kidd, 563 U. S. ___, ___; the “clearly established” standard
is not satisfied here. This Court has never recognized a First Amendment right
to be free from a retaliatory arrest that is supported by probable cause; nor
was such a right otherwise clearly established at the time of Howards’ arrest (U.S.S.Ct.,
04.06.12, Reichle v. Howards, J. Thomas).
Immunité, ici
d’officiers de police qui ont procédé à une arrestation suivie d’une fouille.
Le recourant arrêté soutient qu’il l’a été suite à ses critiques du
Vice-président, donc sans cause (« probable cause »), et en violation
du Premier Amendement. Il a par conséquent actionné les officiers de police sur
la base de 42 U.S.C. 1983 et sur la base de la jurisprudence Bivens. La Cour
juge que les officiers de police bénéficient de l’immunité parce qu’au moment de
l’arrestation, il n’était pas clairement établi qu’une arrestation supportée
par une « probable cause » pourrait donner lieu à une violation du
Premier Amendement. Les Tribunaux peuvent en effet accorder l’immunité lorsque
le droit constitutionnel dont la violation est alléguée n’est pas clairement
établi par la jurisprudence de la Cour. Pour être clairement établi, un tel
droit doit être clair au point que tout employé public raisonnable aurait
compris qu’en adoptant un certain comportement, ce droit était violé. Tel n’est
nullement le cas dans la présente espèce. Par ailleurs, la Cour n’a jamais
reconnu un droit déduit du Premier Amendement de ne pas être arrêté lorsque
l’arrestation est supportée par une « probable cause ».
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