Miranda rights: Thompkins’ silence during the
interrogation did not invoke his right to remain silent. A suspect’s Miranda
right to counsel must be invoked “unambiguously.” Davis v. United
States, 512 U. S. 452, 459. If the accused makes an “ambiguous or
equivocal” statement or no statement, the police are not required to end the
interrogation, ibid., or ask questions to clarify the accused’s intent, id.,
at 461–462. There is no principled reason to adopt different standards for
determining when an accused has invoked the Miranda right to remain
silent and the Miranda right to counsel; Thompkins waived his right to
remain silent when he knowingly and voluntarily made a statement to police; after
giving a Miranda warning, police may interrogate a suspect who has
neither invoked nor waived Miranda rights (U.S.S.Ct., 01.06.10, Berghuis
v. Thompkins, J. Kennedy).
Miranda : le silence de T pendant son
interrogatoire n’implique pas que T ait invoqué de cette façon son droit de
garder le silence. Le droit à un avocat, déduit de Miranda, doit être invoqué
sans ambiguïté par le suspect. Si l’accusé fait une déclaration ambiguë ou
équivoque, ou ne fait pas de déclaration du tout, la police n’est pas tenue de
mettre fin à l’interrogatoire, et n’est pas tenue non plus de poser des
questions pour clarifier l’intention de l’accusé. Il n’existe aucune raison de
principe d’adopter un standard différent pour déterminer quand un accusé a
invoqué son droit Miranda à garder le silence ou son droit Miranda à un avocat.
T a renoncé à son droit de garder le silence lorsqu’il a fait une déclaration à
la police consciemment et volontairement. Après avoir donné l’avertissement
Miranda, la police peut interroger un suspect qui n’a ni invoqué ses droits
Miranda ni renoncé à ceux-ci.
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